LA CAFETERA ROJA

BIOGRAPHIE


MOZAIK
 

2 avril 2021

 [ GREEN PISTE RECORDS / L’AUTRE DISTRIBUTION ] 

Pour beaucoup, les premières années de « La Cafetera Roja », c’était « L’auberge espagnole ». Le film de Klapisch sorti en 2002, porté par la magnifique B.O de l’ancien programmateur de Nova, Loic Dury, un collectif hip hop, rock festif, bêtes de scène, bouffeurs de planches, créateurs d’un “Eurorap” vitaminé de guitares et de batterie. Une famille qui se choisit à l’oreille, à Barcelone, en 2008, multigénérationnels, mixtes, autodidactes, un cercle étoilé sur un champ d’azur, un groupe européen.

Un combo prolifique avec déjà 4 albums et aujourd’hui, pour la première fois, un album tricoté à distance mais finalisé en studio. Un an de travail chacun chez soi, pour ce cinquième disque “Mozaïk”.

La Cafetera Roja, c’est le refus des étiquettes, ils ne sont pas rock, pas trip hop, pas reggae, pas chanson, pas jazz, pas latino, leur gloubiboulga, c’est le temps qui l’a mijoté, la “sono mondiale” s’y est invitée, leur langage, ils se le sont inventé. Ils sont aujourd’hui, “Hip Hop – world”, tout autant que “rock-électro”. En quittant Barcelone, leur espagnol se transforme, se mélange au français, à l’allemand, l’anglais, ils fabriquent leur propre esperanto, leur son transpire la joie du jouer ensemble. 

Aujourd’hui, La Cafetera Roja, n’est plus l’auberge espagnole, elle est “L’Incroyable Histoire de l’île de la Rose”, un nouveau chapitre dans l’histoire du groupe, l’utopie de 1968, de Giorgio Rosa, une plateforme de 400 m² dans les eaux internationales, que l’ingénieur italien fit reconnaître comme un Etat indépendant. Leur île pour ce disque est virtuelle, la batterie devient percussion, puis séquence, puis de nouveau rythmique, oscille au gré du vent de l’organique à l’électronique.

Mozaïk”, ce sont tous ces bouts de sons, cousus, décousus, sifflés et recousus.

Une œuvre humaniste de citoyens du monde déracinés mais “Full of Hope”, des chansons baignées d’amour et de liberté, solaires et parfois nonchalantes. On y devine des influences west coast d’un Dr Dre sur “I don’t need you”, la créativité d’Outkast“ sur « Walk like That”. Le disque s’ouvre sur un clair de lune rappé en allemand, “Moonlight”, puis réminiscence du Trip hop anglais des 90’s, glisse doucement vers des gimmicks électro sur “One Eighty” pour finalement, nous délivrer son message d’espoir, “C’est l’amour”, rencontre d’arpèges, de sérénade espagnole et de flow reggae. on y croise aussi une Cumbia en anglais, “Escucha Mi Son” et un ovni en dialecte autrichien, “Alter Schleger”.

Un souffle “Mozaik” pour se rappeler des joies de l’amitié, une tiède brise valsant sur une robe couleur du temps..

“Un trait d’union entre trip-hop, hip-hop et musique latine.”
FIP

“Un état indépendant de la fête et de la joie, aux couleurs de toutes les émotions de la vie.”
Mélanie BAUER / France INTER 

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